María de Buenos Aires

 18,00

Description

L’opéra en seize tableaux Maria de Buenos Aires (1968) est né du talent de Horacio Ferrer pour le livret et d’Astor Piazzolla pour la musique. Eduardo Isaac nous présente ici huit des seize tableaux adaptés magistralement pour la guitare. Dans le puissant texte poétique de Ferrer, Maria apparaît comme une allégorie du tango, son histoire se confond avec l’histoire du tango et, a posteriori, avec celle de Piazzolla dont elle accompagne les métamorphoses successives. Maria quitte les faubourgs pour gagner la ville qui la fascine, elle succombe au charme du bandonéon et du tango puis meurt après avoir connu son heure de gloire. Mais si le corps de Marie est mort, son ombre, désespérée, continue à hanter la ville et cherche la protection des arbres et des cheminées pour échapper aux rayons du soleil. L’ombre de Maria est bientôt découverte, elle est enceinte et donne bientôt le jour à une petite fille prénommée Maria …

Extraits

No
Compositeur
Titre
Commentaires
Durée
Extrait
1
Astor Piazzolla & Horacio Ferrer

Tango operita
Tocata Rea

arr. Eduardo Isaac
05:03
 
2
Astor Piazzolla & Horacio Ferrer

Tango operita
Tema de María

arr. Eduardo Isaac
05:26
 
3
Astor Piazzolla & Horacio Ferrer

Tango operita
Contramilonga a la funerala

arr. Eduardo Isaac
06:18
 
4
Astor Piazzolla & Horacio Ferrer

Tango operita
Miserere canyengue

arr. Eduardo Isaac
07:05
 
5
Astor Piazzolla & Horacio Ferrer

Tango operita
Romanza del duende

arr. Eduardo Isaac
08:17
 
6
Astor Piazzolla & Horacio Ferrer

Tango operita
Balada para un organito loco

arr. Eduardo Isaac
08:45
 
7
Astor Piazzolla & Horacio Ferrer

Tango operita
A los arboles y a las chimeneas

arr. Eduardo Isaac
02:41
 
8
Astor Piazzolla & Horacio Ferrer

Tango operita
Tangus dei

arr. Eduardo Isaac
09:20
 

Presse

Fin connaisseur de l’univers de Piazzolla, Eduardo Isaac a tiré la quintessence de Maria de Buenos Aires. Le guitariste, qui possède un son d’une rare profondeur et un sens exquis des couleurs, nous donne ici une grande interprétation de l’œuvre de Piazzolla et de Ferrer. Ses arrangements mettent en relief la structure polyphonique de la musique : mélodie accompagnée, contrepoint, développement fugué, dans le même temps, la dimension poétique n’est pas oubliée : le guitariste joue avec subtilité sur le clair-obscur et les changements de lumière en variant les couleurs ou en jouant sur les contrastes rythmiques. La prise de son est irréprochable.

LE MONDE DE LA MUSIQUE / CHOC DE LA MUSIQUE

Quelle maîtrise de la polyphonie ! Le guitariste sait faire chanter toutes les voix avec des couleurs, des intensités différentes et contrôlées. Pour qui sait entendre, c’est sidérant. Sa sonorité reconnaissable entre toutes par sa rondeur, son onctuosité et sa puissance, se transforme selon les exigences de la partition, tantôt dense, lyrique, tantôt sensuelle ou dramatique. Brillant.

GUITARE CLASSIQUE

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