Description
The opera María de Buenos Aires — written in 1968 — in sixteen tableaux was a result of the twin talents of the librettist Horacio Ferrer and the composer Astor Piazzolla. Ferrer’s powerfully poetic text presents María as an allegory of the tango, with which her own story is intertwined — and one could even say with the life of Piazzolla himself —as she accompanies its successive metamorphoses .
Fascinated by the city lights, María leaves the suburbs, falls under the spell of the bandoneon and tango and then, having achieved her hour of glory, dies. Although her body is now dead, in desesperation her shadow continues to haunt the city, seeking shelter from the sun’s rays in the shade of the trees and chimmeys. But María’s shadow is soon discovered ; she is pregnant and gives birth to a daughter — María …
Press
Fin connaisseur de l’univers de Piazzolla, Eduardo Isaac a tiré la quintessence de Maria de Buenos Aires. Le guitariste, qui possède un son d’une rare profondeur et un sens exquis des couleurs, nous donne ici une grande interprétation de l’œuvre de Piazzolla et de Ferrer. Ses arrangements mettent en relief la structure polyphonique de la musique : mélodie accompagnée, contrepoint, développement fugué, dans le même temps, la dimension poétique n’est pas oubliée : le guitariste joue avec subtilité sur le clair-obscur et les changements de lumière en variant les couleurs ou en jouant sur les contrastes rythmiques. La prise de son est irréprochable.
LE MONDE DE LA MUSIQUE / CHOC DE LA MUSIQUE
Quelle maîtrise de la polyphonie ! Le guitariste sait faire chanter toutes les voix avec des couleurs, des intensités différentes et contrôlées. Pour qui sait entendre, c’est sidérant. Sa sonorité reconnaissable entre toutes par sa rondeur, son onctuosité et sa puissance, se transforme selon les exigences de la partition, tantôt dense, lyrique, tantôt sensuelle ou dramatique. Brillant.
GUITARE CLASSIQUE
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